jeudi 5 octobre 2017

Echelle 1

Bonjour les amis,

Voir les voitures en vrai, à l'échelle 1, cela peut avoir du bon pour peaufiner les détails. Surtout lorsque comme moi, on monte des kits. J'étais donc tout récemment à Chantilly où la crème de la crème automobile était réunie (Oui, je sais, c'est facile 😅 ). J'en ai profité pour zoomer sur certaines parties des voitures présentes.

Je commencerai donc par la mythique Ferrari 250 Breadvan que personnellement, je n'avais encore jamais vu.

Ferrari 250 dite Breadvan


A partir de là, il est possible de bien vérifier l'emplacement des attaches capots et de voir en détail les écopes de refroidissement comme ci-dessous.




L'arrière de la Breadvan est également assez torturé. Ici, non seulement on voit bien la position des feux arrières mais aussi leur teinte exacte. 


Le même souci du détail m'a poussé à photographier certaines parties de la non moins rarissime Ferrari 250 GT Expérimentale des 24 heures du mans 1961.


Je possède le kit MMK et certains aspects me laissaient perplexes, comme la couleur des montants de porte et la teinte des sièges par exemple. Mais là, ce n'est toujours pas gagné.

 
En effet, certaines reproductions miniatures de la livrée blanche montrent des sièges noir, voire bleu. Donc ???

Par contre, la position des feux arrière est parfaitement claire.


Je me demandais également ce qu'il y avait au niveau des vitres arrière. En fait, il s'agit de petits aérateurs. La voiture est humide. La condensation du matin est encore présente.


Passons maintenant à la Ferrari 512 S longue des 24h du mans 1970. Vous connaissez bien la voiture si vous avez vu le film de Steve Mac Queen "Le Mans". Bien, mais l'exemplaire vu à Chantilly est le seul à avoir conservé son capot arrière long, configuration que plusieurs autres voitures avaient pour la course. Donc, c'est collector.


D'emblée, on s'aperçoit que la voiture reproduite par Fly est fausse puisque le capot avant est de type sabot beaucoup plus plat. La voiture possède un bosselage au niveau du toit lié à la grande taille de Michaël Parkes qui partageait la voiture avec Herbert Muller. La vue arrière permet de visualiser la position des feux. On aperçoit également la plaque métallique couleur alu qui surplombait les pots d'échappement.


Et pour finir sur une note un peu moins sérieuse, en photographiant les aérations sur les vitres latérales, je me suis aperçu que Madame avait oublié son sac Vuitton à l'intérieur. Shocking !!!


Bon, Merci qui ?
M'enfin !


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